mercredi 29 juillet 2015

Le "tueur au tournevis" interpellé dans le Var

L'homme soupçonné d'avoir tué son ex-compagne avec un tournevis à Cannes en avril dernier a été interpellé par la police dans la nuit de lundi à mardi, alors qu'il se cachait dans le Var.
Le suspect, âgé d'une quarantaine d'années, était séparé de la victime depuis plusieurs mois.
>> RELIRE. Tuée au tournevis à Cannes: le meurtrier serait un ancien policier
Cette dernière avait déposé plusieurs mains-courantes pour harcèlement.
L'homme devrait être déféré devant un juge mercredi à l'issue de sa garde à vue et être mis en examen pour meurtre.
http://www.nicematin.com/cannes/le-tueur-au-tournevis-interpelle-dans-le-var.2300552.html

vendredi 24 juillet 2015

L'affaire Dupont de Ligonnès relancée par un mystérieux courrier

Xavier Dupont de Ligonnès, introuvable depuis la mort de sa femme et de ses enfants, est-il toujours en vie ? C'est en tout cas ce que laisse supposer un courrier envoyé mi-juillet à une journaliste nantaise. A moins qu'il ne s'agisse d'un corbeau.
Un mystérieux courrier signé Xavier Dupont de Ligonnès et une photo de deux de ses fils derrière laquelle il est écrit : "je suis encore vivant". Voilà ce qu'a reçu une journaliste nantaise il y a une dizaine de jours, révèle France 3 ce vendredi. Qui a envoyé ce cliché ? Est-ce le père de famille, suspecté d'avoir tué sa femme et ses quatre enfants ou un corbeau qui tente de se faire passer pour lui.

Les enquêteurs qui recherchent Xavier Dupont de Ligonnès depuis avril 2011 auront certainement la réponse dans quelques jours. Des analyses graphologiques ainsi qu'un relevé d'empreinte et d'ADN sur la photo devraient permettre de dissiper le mystère.
Sur la photo envoyée semblent apparaître selon France 3 Arthur et Benoît, l'ainé et le benjamin de la fratrie. Derrière ce cliché, outre le message "je suis encore vivant" écrit en lettres capitales, on peut y lire la mention en petit caractère "de là jusquà cette heure" [sic]. Un courrier troublant qui vient ajouter sa part d'ombre à une affaire qui n'en manquait déjà pas.

jeudi 23 juillet 2015

Une mort suspecte dans le port de La Ciotat

Les enquêteurs de la brigade criminelle de la sûreté départementale sont pour l'heure bien perplexes quant aux faits dramatiques survenus hier vers 17h30 dans le port de La Ciotat.

Il semblerait qu'un différend ait opposé deux hommes, un de 36 ans et un autre âgé de 49 ans, sur le quai Ganteaume. Le premier aurait alors plongé dans le port, suivi de près par le second. Mais rapidement les secours retrouveront le corps sans vie du plus jeune flottant à la surface de l'eau. Le quadragénaire sera lui interpellé alors qu'il se cachait entre des bateaux.

Alors que s'est-il passé ? Si les premiers éléments de l'enquête évoquaient des menaces de coups de couteau, l'examen de corps de la victime n'aurait révélé aucune blessure. Le trentenaire a-t-il été noyé par son assaillant ou s'est-il simplement hydrocuté en pénétrant dans l'eau ? C'est en tout cas le début d'"une affaire bien nébuleuse", commente un enquêteur.

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/3507117/une-mort-suspecte-dans-le-port-de-la-ciotat.html

mardi 21 juillet 2015

Joggeuse de Bouloc : la cellule «Disparition 31» dissoute

Créée début mars 2011, la cellule d'enquête «Disparition 31» composée de 16 enquêteurs de la gendarmerie chargés d'élucider la disparition puis le meurtre de Patricia Bouchon a été dissoute début juillet. Un suspect est toujours écroué et les investigations continuent.
Après plus de quatre ans d'existence, la cellule d'enquête «Disparition 31», créée par les gendarmes en mars 2011, après la disparition et le meurtre de Patricia Bouchon mortellement agressée lors de son jogging matinal, le 14 février 2011, à Bouloc, près de Toulouse, est officiellement dissoute depuis le 3 juillet.
«Même si les investigations se poursuivent, le travail d'enquête actuel ne nécessite plus l'activation d'une telle structure qui était composée de gendarmes venus de différentes unités», confirme une source officielle au sein de la section de recherche (SR), en charge de l'enquête sur le meurtre de Patricia Bouchon. Les 16 enquêteurs initiaux venus des brigades territoriales ou des brigades de recherches pour composer la cellule spéciale de la SR, devraient prochainement réintégrer leur unité respective. Une structure d'enquête à la longévité déjà exceptionnelle et dont le nombre de gendarmes qui y travaillaient a fluctué, passant de 16 à 5, ces derniers mois. L'enquête a connu une avancée décisive, le 12 février 2015, avec le placement en détention de Laurent Dejean, 36 ans, soupçonné du meurtre de Patricia Bouchon. La mise en examen de ce suspect qui continue de nier sa participation à ce crime et l'étude de nombreuses autres hypothèses ne justifient donc plus le maintien de cette cellule même si l'enquête se poursuivra, sous l'autorité du juge d'instruction, Fabrice Rives. Décrit comme psychologiquement fragile et présentant un terrain schizophrène, le suspect a changé de comportement après les faits.

Clio introuvable

Ce brutal changement d'attitude ainsi que les témoignages de 31 personnes confirmant qu'il possédait une Clio de couleur claire et dans laquelle il est reconnu par un automobiliste le matin du meurtre, constituent les principales charges, malgré ses dénégations. Une Clio, élément crucial du dossier qui fait encore cruellement défaut puisqu'elle n'a toujours pas été retrouvée. Des commissions rogatoires sont toujours en cours.
Dernièrement, des plongeurs de la gendarmerie venus d'Arcachon ont sondé différents points d'eau ainsi que le Tarn et le Girou. Mais sans succès.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/07/21/2147234-joggeuse-de-bouloc-la-cellule-disparition-31-dissoute.html

mercredi 15 juillet 2015

Deux ans après, retour sur l’affaire Benitez à Perpignan, sur W9

Docu-info - Société | 2014 | 120min. (20H50/22H50) 
Interdit aux moins de 10 ans
Présentation : Sidonie Bonnec, Paul Lefèvre
«Meurtre chez les Miss : l'affaire Benitez». Mais où est passée Alison Benitez, 17 ans, la très jolie candidate à l'élection Miss Roussillon qui s'est évaporée à la sortie d'un shooting photo le 14 juillet 2013 ? À Perpignan, ses amis sont fous d'inquiétude. Mais son père, Francisco, un légionnaire de 50 ans, se veut rassurant : Alison et sa mère, Marie-Josée, auraient quitté la ville pour s'installer à Toulouse, après une dispute avec lui. «Sexe, crime et perversité : l'affaire Sarrasin». 13 octobre 1995, RN 75, commune de Montagnat (Ain). Ce jour-là, un riverain découvre dans un fossé le corps sans vie de Sébastien Faisant, 24 ans. Il a été égorgé et criblé de balles.
 

lundi 13 juillet 2015

Affaire Benitez : le mystère des corps disparus

Francisco Benitez est, sans aucun doute, à l'origine de la disparition criminelle de sa femme Marie-Josée et d'Allison, sa fille. Avant de se suicider en août 2013, 20 jours après le double assassinat, il soutenait qu'elles étaient parties à Toulouse. Eric Barbet, le frère de Marie-Josée, réclame de nouvelles investigations.
Deux ans après la double disparition, les corps de Marie-Josée Benitez et de sa fille Allison, 19 ans, n'ont toujours pas été retrouvées. Les enquêteurs ont remué la terre et le sable de la pinède de Port-Leucate. Ils ont sondé les plans d'eau, sans avoir retrouvé un seul indice de la présence des deux dépouilles puisqu'il semble acquis aujourd'hui que la mère et la fille ont été assassinées dans l'appartement familial de Perpignan.
L'idée d'explorer, voire de vider la cuve de la station d'épuration de Port-Leucate semble avoir été abandonnée et la famille de Marie Josée, partie civile, s'inquiète de l'enlisement des investigations dans un dossier où les juges d'instruction ont changé.
«Les investigations pour retrouver les corps doivent reprendre. En janvier dernier, nous avions adressé des requêtes par la voix de notre avocat Maître Philippe Capsié et nous n'avons toujours pas de nouvelles. Nous souhaitons par exemple que des recherches soient menées dans le sous-sol de l'immeuble de la rue Jean-Richepin où la famille vivait. On accède à ce sous-sol par des trappes qui se trouvent dans le garage de Francisco Benitez. Étrangement, j'ai le sentiment qu'elles n'ont pas encore été visitées par les enquêteurs. C'est un endroit parfait pour cacher des corps ou d'autres éléments pouvant être liés à la double disparition» explique Éric Barbet, le frère de Marie Josée et oncle d'Allison.

«C'est une piste à suivre ou une porte à refermer»

Pour avoir passé des vacances chez les Benitez, il se souvient parfaitement de la configuration des lieux. Il a découvert que l'immeuble disposait d'un vide sanitaire en partie occupé par une ancienne fosse septique et une ancienne cuve de fuel. «C'est pour nous une des pistes à suivre ou une des portes à refermer. Car nous avons le sentiment que cette tuerie a bien eu lieu dans le garage, juste au-dessus du vide sanitaire», poursuit Éric Barbet.
Pour étayer sa requête, Éric Barbet et son épouse Ghislaine mettent en avant les déclarations de la maîtresse espagnole de Francisco Benitez. Maria Teresa, témoin capital, a résidé dans l'appartement familial le 19 juillet, cinq jours seulement après les deux meurtres. Dans une interview, elle a dit qu'elle n'avait rien remarqué d'anormal, sauf qu'elle avait été incommodée par une odeur insupportable dans la salle de bain.

Un appel à témoignages

«Cette odeur qualifiée d'insoutenable n'était pas celle de la poubelle des voisins. Elle ne pouvait provenir que du fenestron qui ne donne pas sur l'extérieur, mais sur une colonne sèche dont la base se trouve dans le vide sanitaire», argumente Éric Barbet, qui lance également un appel à témoignages. «Compte tenu de la violence de ce qui s'est passé le 14 juillet dans l'après-midi dans l'appartement, il me semble impossible que des voisins, des habitants de la rue n'aient rien entendu. Qu'ils n'aient pas perçu les cris d'Allison notamment», ajoute-t-il. Éric Barbet a encore réclamé le rapprochement judiciaire des deux dossiers qui visent directement Francisco Benitez : celui de la double disparition de Perpignan et celui de «l'évaporation» de la maîtresse du légionnaire, Simone de Oliveira, disparue le 29 novembre 2004 à Nîmes, brutalement elle aussi, en envoyant un texto à ses proches. «Un rapprochement qui pourrait sans doute être riche d'enseignements», estime Éric Barbet.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/07/13/2142939-affaire-benitez-le-mystere-des-corps-disparus.html

samedi 11 juillet 2015

Rixe mortelle aux Amidonniers : le suspect en prison

L'homme arrêté mercredi a été mis en examen et placé en détention hier soir. Il aurait admis sa participation à la bagarre qui a coûté la vie à Wilfrid Yvon, le 22 juin.
Les enquêteurs de la police judiciaire ont remporté la course contre la montre dans laquelle ils s'étaient lancés dans la soirée du 22 juin. Le parquet avait saisi le SRPJ pour identifier un homme en fuite après avoir donné plusieurs coups de couteau. Un objet tranchant qui a touché les jambes de Wilfrid Yvon, provoquant une très importante hémorragie.
Depuis, les enquêteurs du groupe criminel avaient réuni de nombreux indices pour remonter la piste du principal suspect. Un homme qui, lors de la bagarre qui l'opposait à Wilfrid Yvon, avait pris de nombreux coups, laissant sur le bitume et sur son adversaire des traces génétiques. Les prélèvements ont permis d'identifier un ADN, déjà répertorié dans les fichiers.
Depuis une semaine, les policiers cherchaient à retrouver la trace de leur suspect, un homme qui vit en marge mais qui avait, également, ses petites habitudes dans le quartier des Sept-Deniers, à Toulouse.
Et mercredi soir, après plusieurs jours de surveillance et de planque, les hommes de la BRI ont surpris le suspect, au moment où il allait retirer de l'argent à un distributeur bancaire.
Placé en garde à vue dans les locaux de la PJ, l'individu a d'abord juré n'être pour rien dans la rixe qui a coûté la vie à Wilfrid Yvon. Or, placé petit à petit devant les éléments à charge recueillis contre lui par les enquêteurs, le suspect aurait commencé à admettre une partie de ses responsabilités.
L'origine des difficultés reste encore à préciser «mais la bagarre est bien liée à une visite que l'on va décrire, a minima, comme mal intentionnée», lâche un policier.
Hier en début d'après-midi, l'homme a été présenté au parquet puis à la juge d'instruction. Mis en examen pour «violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner», il a été placé en détention pour le juge des libertés et de la détention. L'instruction permettra d'éclaircir les conditions exactes de la mort de Wilfrid Yvon.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/07/11/2142245-rixe-mortelle-aux-amidonniers-le-suspect-en-prison.html

vendredi 10 juillet 2015

Un homme soupçonné dans le crime des Amidonniers

Les enquêteurs de la police judiciaire progressent dans les investigations qu'ils mènent pour comprendre le drame qui s'est joué en quelques minutes, rue des Amidonniers à Toulouse. Ce soir du 22 juin, vers 22 h 15, une rixe a éclaté entre deux individus. Des coups ont été échangés et un homme a frappé plusieurs fois son adversaire aux jambes de avant de s'enfuir (1).
Ces blessures, a priori pas très graves, ont entraîné des conséquences catastrophiques. Un coup porté derrière le genou avec un objet tranchant a provoqué une hémorragie très importante. Malgré l'intervention des pompiers et du Smur 31, et une évacuation vers les urgences, Wilfrid Yvon est mort vers 1 heure sans avoir repris connaissance. Il avait 35 ans.

Faux policiers, vrai cambriolage

Cet homme qui travaillait dans une entreprise de déménagement vivait depuis l'automne dans un squat avec son frère. Des voisins «sans histoire» selon deux habitantes du quartier, qui appréciaient leur calme. Les enquêteurs de la brigade criminelle de la police judiciaire ont reconstruit le scénario qui a amené au drame.
Trois individus se seraient présentés comme «policiers» devant la maison. Le frère aîné était seul. Que voulait ce trio ? Cambrioler sans doute, peut-être faire main basse sur du cannabis. L'occupant des lieux a deviné la supercherie et est parti chercher son petit frère. Au retour du duo, il restait un seul individu et la bagarre a éclaté.
Cet individu est-il l'homme de 30 ans qui a été interpellé par la police judiciaire mercredi en fin d'après-midi ? La PJ est restée très discrète hier. Le parquet a confirmé hier soir l'ouverture, lundi, d'une instruction judiciaire pour «violence avec arme ayant entraîné la mort sans intention de la donner» et la garde à vue d'un suspect qualifié de «sérieux». Si les charges se confirment, cet individu pourrait être présenté cet après-midi au paquet.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/07/10/2141579-un-homme-soupconne-dans-le-crime-des-amidonniers.html

jeudi 9 juillet 2015

La circulation sur le pont de pierre à Bordeaux a été bloquée pendant plus de trois heures dans le sens rive gauche-Bastide, ce mercredi après-midi, pour les besoins d'une reconstitution judiciaire.
Anthony Gaudry, le père de Yumi, la fillette de 22 mois, tombée dans les eaux de la Garonne le 21 novembre 2014, en début de soirée, a été conduit sur les lieux du drame sous escorte policière.
Anthony Gaudry, mis en examen pour homicide volontaire et placé en détention provisoire depuis les faits, a toujours affirmé que la chute était accidentelle et parlé "d'imprudence". 
Le corps de la fillette avait été retrouvé fin décembre sur une plage envasée de Meschers-sur-Gironde (Charente-Maritime).

Témoins présents

Ce mercredi après-midi, en présence de son avocat Me Stéphane Guitard, et sous la direction de la juge d'instruction Marie-Noëlle Billaud, il a poussé le landau et hissé un plastron représentant un poupon, sur le parapet du pont. Des témoins, présents le soir du drame, ont également assisté à la reconstitution et raconté ce qu'ils avaient vu.
Me Hélène Poulou, partie civile pour la famille de la mère de Yumi, qui vit désormais à La Rochelle, était également présente.
Les enquêteurs de la brigade criminelle de la Direction interrégionale de la police judiciaire (DIPJ) de Bordeaux, en charge des investigations, ont suivi de près les moindres gestes de l'auteur présumé qui, faut-il le rappeler, bénéficie de la présomption d'innocence à ce stade de la procédure.
Pour ce geste, Anthony Gaudry est passible de la cour d'assises

http://www.sudouest.fr/2015/07/08/fillette-tombee-dans-la-garonne-a-bordeaux-reconstitution-judiciaire-sur-le-pont-de-pierre-2004355-2780.php

lundi 6 juillet 2015

Le corps d'un cycliste retrouvé dans le canal latéral

Les occupants d'une péniche qui circulait sur le canal latéral de la Garonne à Saint-Jory hier matin, vers 11 h 20, ont fait une macabre découverte au lieu-dit des trois-Ponts. Ils ont trouvé le corps inanimé d'un homme qui flottait. Ils ont immédiatement prévenu les sapeurs-pompiers qui ont envoyé leurs plongeurs. Les gendarmes se sont également rendus sur place où ils ont établi un périmètre de sécurité.
Malheureusement, il n'y avait plus rien à faire pour la victime qui était décédée. Il a pu être identifié. Il s'agit d'un homme de 70 ans porté disparu depuis la veille à Saint-Alban. Il était parti faire du vélo mais n'était jamais rentré. Inquiets de ne pas le voir revenir, ses proches avaient donné l'alerte. Des recherches avaient été engagées, au moyen d'un hélicoptère et d'un maître-chien, afin de le retrouver. En vain. Problème technique ? Malaise ? Accident ? Une enquête est ouverte afin de déterminer les causes de sa chute dans le canal. Son corps a été confié à l'institut médico-légal afin qu'une autopsie soit pratiquée.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/07/06/2139046-le-corps-d-un-cycliste-retrouve-dans-le-canal-lateral.html

vendredi 3 juillet 2015

INFO LCI. Un homme retrouvé mort aux Buttes-Chaumont à Paris

Selon les informations de LCI, le corps sans vie d'un homme a été retrouvé ce vendredi matin au parc des Buttes-Chaumont, ouvert la nuit dernière pour l'été, à Paris. Il était bâillonné et portait une corde autour du cou. Les enquêteurs cherchent à savoir s'il s'agit d'un meurtre ou d'un suicide.

http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/info-lci-un-homme-retrouve-mort-aux-buttes-chaumont-a-paris-8629244.html

jeudi 2 juillet 2015

Une mère et sa fille mortes dans un appartement, probable drame familial

Le corps d'une femme de 48 ans, lardé de coups de couteau, ainsi que celui de sa fille de 15 ans, carbonisé, ont été découverts jeudi dans un appartement du Blanc-Mesnil (Seine-Saint-Denis), probablement incendié par le père de famille, a-t-on appris auprès du parquet.
Appelés vers 11H45 pour un incendie, "les pompiers et les policiers ont découvert deux cadavres, ainsi que le père de famille agonisant", a déclaré à l'AFP le parquet de Bobigny, confirmant une information du Parisien. Blessé à l'abdomen, cet homme de 68 ans, soupçonné d'avoir mis le feu à l'appartement, a été transporté à l'hôpital dans un état grave.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/seine-saint-denis/une-mere-et-sa-fille-mortes-dans-un-appartement-probable-drame-familial-762356.html