dimanche 30 juin 2013

FAITES ENTRER L'ACCUSE n°27 04X07 LA DISPARITION D'AGNES

Morte sur un train: des précisions



La femme de 27 ans morte électrocutée sur le toit d'un train bloqué en gare de Bois-Colombes (Hauts-de-Seine) parce que ses portes ne s'ouvraient pas aurait voulu sortir plus vite en passant par la fenêtre, a-t-on appris dimanche de source policière. Dans la nuit de vendredi à samedi, le dernier train de banlieue de la ligne J reliant Paris à Ermont-Eaubonne (Val-d'Oise) est resté immobilisé à quai après son arrivée vers 1h10 en gare de Bois-Colombes en raison d'un problème d'ouverture de portes.

D'après les premiers éléments de l'enquête, la passagère de 27 ans aurait voulu s'extraire plus rapidement d'un wagon sans attendre la résolution du problème. Elle a ouvert la fenêtre, s'est agrippée au rebord pour grimper sur le toit de la rame, selon la source policière et SNCF Transilien, qui chapeaute le réseau des trains de banlieue en Ile-de-France. L'arc électrique qui s'est alors formé a causé la mort de la jeune femme.


Après le problème technique, le conducteur du train avait appliqué les consignes de dépannage, a souligné SNCF Transilien. Il avait également fait une annonce pour expliquer le problème à la quarantaine de passagers et leur demander d'attendre la réouverture des portes. Ces derniers n'auraient pas manifesté de signes d'impatience, selon SNCF Transilien. L'enquête en cours devra permettre de déterminer les circonstances précises du drame.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/06/30/97001-20130630FILWWW00038-morte-sur-un-train-des-precisions.php

Faites entrer l'accusé - 10 mai 2013

vendredi 28 juin 2013

Les Enquêtes Impossibles, La maison de l'horreur

Bébé dans les toilettes : la mère arrêtée

Une jeune femme de 18 ans, soupçonnée d'avoir abandonné le bébé auquel elle venait de donner naissance samedi dernier dans les toilettes d'une salle des fêtes près de Valenciennes, dans le Nord, a été interpellée hier.

La jeune femme, qui a reconnu être la mère de l'enfant, était encore en garde à vue ce matin, entendue par les enquêteurs de la brigade criminelle de la police judiciaire de Lille. Elle doit être déférée en fin de journée devant un juge d'instruction de Valenciennes. A l'occasion de la fête d'une école primaire de la commune de Raismes, la mère de l'enfant avait accouché dans les toilettes de la salle municipale, avant de couper le cordon et d'abandonner le bébé.

Le bébé, en hypothermie, avait été retrouvé par un employé communal, avant d'être pris en charge par une infirmière qui se trouvait sur les lieux au moment de la découverte. Cette dernière avait sorti le bébé encore en vie de la cuvette, lui prodiguant les premiers soins, avant qu'il ne soit pris en charge par le Smur. Le nouveau-né avait été hospitalisé à la maternité la plus proche, où son pronostic vital n'était plus engagé. Il a été prénommé Alban, étant né le 22 juin, jour de la Saint-Alban.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/06/28/97001-20130628FILWWW00366-bebe-dans-les-toilettes-la-mere-arretee.php

Faites Entrer l'accusé - Jean Luc Sebin, le forcené de Versailles

jeudi 27 juin 2013

Faites entrer l'accusé - L'affaire Alain Lamare, état de démence

Drôme : policiers et gendarmes aux trousses du père de famille

Malgré un signalement adressé à l'ensemble des forces de gendarmerie et de police, ainsi qu'auprès des services de la police des frontières, et ce sur le plan national, l'auteur présumé du quadruple meurtre de Saint-Paul-trois-châteaux, Abdelkrim El Kadaoui, 43 ans, est toujours introuvable.
Et ce ne sont pas les multiples appels téléphoniques reçus par les différentes compagnies de gendarmerie des départements de la Drôme, de Vaucluse, du Gard, de l'Ardèche et même des Bouches-du-Rhône qui changeront quoi que ce soit : c'est une véritable chasse à l'homme qui a été lancé, dès mardi 25 juin dans l'après-midi.
Déjà connu de la justice
Selon le procureur de la République de Valence, Antoine Paganelli, "toutes les pistes sont actuellement envisagées, de la fuite vers le Maroc, pays d'origine de cette personne, jusqu'à son éventuel suicide, en passant par un possible hébergement auprès de relations voire des proches, dans la région" .
Selon les premiers éléments de l'enquête, l'homme, déjà connu de la justice, drômoise et vauclusienne, pour différents faits de violence et même de trafic de produits stupéfiants, aurait tué son épouse, âgée de 29 ans, de plusieurs coups de couteau, et serait également l'auteur des meurtres, par asphyxie de ses trois enfants. Ces derniers avaient été retrouvés dans la voiture d'Abdelkrim El Kadaoui, véhicule abandonné sur la commune de Saint-Paul-trois-châteaux, non loin du domicile familial.
Les premiers résultats des autopsies confirment le décès des enfants (Ayoub, 9 ans, Omeyma, 8 ans et Yasmine 2 ans) par asphyxie : un par strangulation manuelle, puisque les médecins légistes ont retrouvé des "sillons de strangulation", et deux autres asphyxies au moyen d'éléments extérieurs. Selon le procureur de la République, "les médecins n'ont toujours pas pu déterminer avec exactitude si l'auteur des assassinats avait utilisé un sac, un coussin ou autre".

http://www.laprovence.com/article/actualites/2421787/drome-policiers-et-gendarmes-aux-trousses-du-pere-de-famille.html

mardi 25 juin 2013

Coup de filet antiterroriste : 6 personnes interpellées en région parisienne

Six personnes ont été interpellées lundi matin en région parisienne dans le cadre du démantèlement d'une cellule islamiste radicale soupçonnée de projeter "des actes terroristes" sur le sol français.

Soupçonnés de projeter "des actes terroristes" sur le sol français, six personnes ont été interpellé lundi matin en région parisienne, dans les départements des Yvelines, de Seine-Saint-Denis et du Val d'Oise. Le démantèlement de cette cellule islamiste radicale a été conduit par la Sous-direction antiterroriste (Sdat) de la police judiciaire de Nanterre. Les six suspects, âgés de 22 à 38 ans, ont été placés en garde à vue. Ils sont "tous connus des services de police pour des faits de délinquance grave", précise une source proche de l'enquête.
Parmi les membres de cette cellule figurent un Béninois, un Comorien et quatre personnes de nationalité française, a précisé une source proche du dossier. Ils ont été interpellés par les hommes de la Sdat à Stains (Seine-Saint-Denis), Trappes (Yvelines) et Roissy-en-Brie (Seine-et-Marne). Les membres de la cellule sont notamment soupçonnés d'être impliqués dans le hold-up d'une agence de la Banque Postale en Seine-et-Marne en avril "et projetaient apparemment de commettre d'autres vols à main armée", a dit la source proche de l'enquête. Selon les enquêteurs de la police antiterroriste, "ils projetaient de commettre des actes terroristes visant des personnalités en France", a déclaré cette source. Leur garde à vue peut durer jusqu'à 96 heures.

MEURTRE A LA SAINT VALENTIN - AFFAIRE CLELIA MEDINA / MEURTRE MEREDITH

lundi 24 juin 2013

Suspect n°1 (La vengeance d'une femme)

Marseille : l'homme abattu à la kalachnikov samedi était un détenu en cavale

La victime, âgée de 27 ans, était en semi-liberté, avec obligation de regagner la prison des Baumettes le soir, depuis le 31 janvier. Le 1er février, il n'avait pas réintégré l'établissement pénitenciaire. Il a été abattu de plusieurs dizaines de balles, samedi soir, dans les quartiers nord de Marseille. L'homme de 27 ans, 10e victime d'un homicide depuis le début de l'année dans la cité phocéenne, était un détenu qui n'avait pas regagné sa prison après une permission. Il était parvenu à obtenir une mesure de mise en semi-liberté, avec obligation de réintégrer la prison des Baumettes le soir, depuis le 31 janvier. Il n'avait pas regagné la prison le 1er février, a indiqué lundi une source proche de l'enquête. Auparavant, il avait été condamné à plusieurs reprises pour usage de stupéfiants, vols avec violence, ainsi que pour un vol à main armée en 2008 devant la cour d'assises des Bouches-du-Rhône. Il avait séjourné au centre de détention de Tarascon avant d'intégrer la prison marseillaise. Abattu au pied de l'immeuble de sa compagne Pisté par les policiers de la brigade des recherches et mandats (BRM) de la Sûreté départementale, la victime, méfiante, avait déserté son domicile du quartier des Arnavaux (XIVe arrondissement) -près de Bon-Secours, où il a été exécuté- pour le village de Simiane, près d'Aix-en-Provence. Les tueurs ont appris avant les policiers qu'il revenait à Marseille pour voir sa compagne et ne lui ont laissé aucune chance au pied de l'immeuble de cette dernière. L'année 2012 avait été sanglante avec 24 personnes tuées par balles dans les Bouches-du-Rhône. Ces homicides à répétition, intervenant souvent sur fond de trafic de stupéfiants, ont conduit le gouvernement à mettre en place un vaste plan d'actions, avec notamment la création de deux zones de sécurité prioritaires (ZSP). Fin mai, le ministre de l'Intérieur Manuel Valls a estimé que "la stratégie de reconquête" commençait à porter ses fruits dans les quartiers où se concentrent les cités difficiles et l'intervention de l'Etat.

http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/marseille-l-homme-abattu-a-la-kalachnikov-samedi-etait-un-detenu-8053744.html

Tuerie de Chevaline : la police a arrêté un homme

La police britannique a annoncé lundi midi avoir arrêté un homme de 54 ans dans l'enquête sur la tuerie de Chevaline qui a coûté la vie à 5 personnes en septembre dernier.

Plus de 9 mois après les faits, la police britannique a annoncé lundi midi avoir arrêté un homme dans l'enquête sur la tuerie. Celui-ci, âgé de 54 ans a été arrêté lundi au Royaume-Uni dans le comté du Surrey, près de Londres, où vivait la famille al-Hilli.
 
Le 5 septembre dernier, Saad al-Hilli, Britannique d'origine irakienne de 50 ans, sa femme Iqbal, 47 ans, et sa belle-mère Suhaila al-Allaf, 74 ans, de nationalité suédoise, avaient été retrouvés morts, tués de plusieurs balles dans la tête, dans leur voiture. Sylvain Mollier, un cycliste de la région, probable victime collatérale, gisait à côté de leur véhicule.
 

dimanche 23 juin 2013

Faites Entrer L'Accusé,S09 E91 Jacques Plumain Le fantôme de Kehl

Drame au cimetière : le mystère s’épaissit

Nancy. Les enquêteurs du SRPJ de Nancy semblent abandonner la piste du crime passionnel. Vingt-quatre heures après leur placement en garde à vue, le conservateur des cimetières de Nancy et son ex-maîtresse sont sortis libres de l’hôtel de police Lobau vendredi soir.

Ils avaient été entendus dans le cadre d’une information judiciaire pour « tentative d’homicide volontaire » ouverte par le parquet de Nancy après la découverte, jeudi après-midi, à son domicile, du corps inanimé de l’épouse du conservateur des cimetières de Nancy, vraisemblablement frappée à la tête avec un « objet contondant ». Son pronostic vital était engagé quand elle a été transportée au CHU dans un état jugé critique. C’est son mari qui l’a découverte à leur domicile, au premier étage de la « maison des gardiens » du cimetière du Sud, où ils occupent un appartement.
D’emblée, les enquêteurs du SRPJ de Nancy ont exploré la piste de crime passionnel. Le conservateur a en effet entretenu une relation extraconjugale pendant des années. Relation qui a même donné naissance à plusieurs enfants. L’homme marié et sa maîtresse auraient toutefois cessé de se voir depuis plusieurs mois. Son épouse n’aurait découvert cette double vie que récemment.
Où se trouvaient les mis en cause et que faisaient-ils au moment du drame ? C’est à ces questions, principalement, qu’ils ont a dû répondre au cours de leur audition. Au terme des investigations et des vérifications menées par les enquêteurs, la garde à vue a donc été levée vendredi soir alors qu’elle aurait pu se prolonger jusqu’au lendemain.
Qui a frappé la victime ? Hormis le ou les agresseurs, elle seule le sait. Mais la malheureuse était toujours dans le coma hier. Le mystère s’épaissit

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/06/23/drame-au-cimetiere-le-mystere-s-epaissit

Faites entrer l'accusé, S08 E69 Louis Poirson, le tailleur de pierres

vendredi 21 juin 2013

Gardien des Baumettes en garde à vue

Un gardien de prison de la maison d'arrêt des Baumettes à Marseille, soupçonné d'avoir fait parvenir à des détenus des stupéfiants et des téléphones portables, a été placé en garde à vue, a indiqué aujourd'hui une source syndicale.

Ont été retrouvés dans son sac aux vestiaires "une dizaine de portables et de la résine de cannabis", a précisé Bruno Boudon, le secrétaire général de l'Union fédérale autonome pénitentiaire (Ufap) dans la région, confirmant une information de RTL. La radio évoque 300 grammes de haschich.

Le parquet, qui a confié l'enquête à la police judiciaire, a confirmé le placement en garde à vue de ce surveillant de 45 ans, qui avait été muté à la prison marseillaise.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/06/21/97001-20130621FILWWW00675-gardien-des-baumettes-en-garde-a-vue.php

Faites entrer l'accusé - L'assassinat du petit Gregory

jeudi 20 juin 2013

Enfant décapité à La Réunion: le meurtrier présumé a agi par vengeance

Selon le procureur de Saint-Denis, l'homme de 37 ans suspecté d'avoir tué et décapité un enfant de 4 ans mercredi matin sur l'île de La Réunion, a agi par vengeance, après que son ex-compagne lui a avoué qu'il n'était pas le père de l'enfant.

L'enquête avance après le drame terrible survenu mercredi matin à Saint-Benoît sur l'Ile de la Réunionun enfant de 4 ans a été retrouvé décapité. L'homme de 37 ans, suspecté d'être l'auteur de l'acte, a agi par vengeance, après que son ex-compagne lui a avoué qu'il n'était pas le père de l'enfant, a indiqué, jeudi, le procureur de Saint-Denis.

Selon le magistrat, "le petit Mattéo a d'abord été frappé à mains nues par le suspect, avant d'être tué avec une arme blanche, puis décapité et éventré" . Les enquêteurs s'attachent à reconstituer la chronologie du crime et ont déjà établi que le meurtrier présumé avait ensuite déposé le cadavre de l'enfant dans une grande volière où était enfermés huit chiens. "Le corps a été partiellement calciné, mais il est impossible, à l'heure actuelle, d'en déterminer l'origine et l'intensité" a ajouté le juge.
Pas de sorcellerie
Les gendarmes ont également établi que l'homme avait frappé son ex-compagne, avant de s'en prendre violemment à l'enfant, dont il venait d'apprendre qu'il n'était pas le sien. L'altercation avec la mère et son enfant a commencé dans la cour, puis le suspect s'est emparé de Mattéo et l'a conduit dans la modeste maison. Selon les constatations des techniciens de l'identification criminelle, c'est là que le crime a été perpétré.
Le procureur a écarté l 'hypothèse d'un rite sacrificiel ou d'une pratique de sorcellerie qu'avait pu laisser supposer la présence de gros sel et de safran découverts sur le sol, aux abords de la maison. Au moment de son interpellation, le suspect a subi un test d'alcoolémie qui s'est révélé négatif. Des analyses toxicologiques détermineront si l'homme était sous l'empire de stupéfiants.
Le meurtrier présumé devrait être déféré jeudi au parquet de Saint-Denis qui a ouvert une information judiciaire pour meurtre sur enfant de moins de 15 ans, accompagné d'actes de torture et de barbarie. La peine encourue pour ce crime est la réclusion criminelle à perpétuité.
 

Faites Entrer L'Accusé,S09 E91 Jacques Plumain Le fantôme de Kehl

mercredi 19 juin 2013

Faites entrer l'accusé La seringue du Docteur Cosme

Seine-et-Marne. Deux femmes auraient vendu un bébé

Deux jeunes femmes, de 20 et 37 ans, sont suspectées d’avoir vendu une petite fille née le 29 mai au centre hospitalier de Marne-la-Vallée, révèle ce mercredi le Parisien.
Bébé activement recherché
À l’origine de cette découverte : un signalement de l’aide sociale en fin de semaine dernière. Née le 29 mai dernier, une petite fille a disparu. Non reconnu à la naissance, le bébé est activement recherché.
Dans le cadre de cette enquête, deux femmes ont été écrouées, indique ce mercredi Le Parisien. La plus jeune, âgée de 20 ans, est la fille de la seconde, 37 ans. Les deux sont suspectées d’avoir vendu le nourrisson, né au centre hospitalier de Marne-la-Vallée.
Incarcérées lundi
Interpellées dans un des campements de Roms implantés à Champs-sur-Marne, les deux femmes ont été placées en garde à vue au commissariat de Noisiel samedi, mis en examen par un juge d’instruction du tribunal de Meaux lundi puis incarcérées dans la foulée.

Faites entrer l accusé - Jean-Michel Bissonnet

mardi 18 juin 2013

Bourg : un homme écroué pour trafic de stupéfiants

Un homme de 38 ans déjà placé sous bracelet électronique vient d’être interpellé pour trafic de stupéfiants avec six autres personnes qui l’auraient aidé. Près de six cent grammes de cannabis ont été découverts chez lui.
Après la découverte en novembre dernier de près de deux kilos de cannabis et de cocaïne chez une « nourrice » payée pour garder la drogue pour le compte d’un dealer, les policiers avaient entamé des surveillances autour d’un homme de 38 ans déjà placé sous bracelet électronique.
Il vient d’être interpellé avec six autres personnes qui l’auraient aidé.
Près de six cent grammes de cannabis ont été découverts chez lui. Il vient d’être écroué alors que les six autres personnes ont été placées sous contrôle judiciaire.


http://www.leprogres.fr/ain/2013/06/18/bourg-un-homme-ecroue-pour-trafic-de-stupefiants

Vaucluse : deux enquêtes ouvertes pour des tentatives d'enlèvement

Les gendarmes de la brigade de Pertuis ont pris la chose au sérieux et s'emploient à faire toutes les vérifications qui s'imposent en pareille circonstance. Le 7 juin dernier, ils ont reçu un témoignage troublant émanant d'un garçonnet de 8 ans.
L'enfant a assuré à son père avoir été victime d'une tentative d'enlèvement, en pleine journée et au centre-ville de Pertuis alors qu'il était sur le chemin de l'école. Selon les déclarations du garçonnet, il était 13h, avenue de Verdun, lorsqu'un homme circulant en voiture l'aurait d'abord klaxonné, avant de descendre de son véhicule (qui pourrait être une Peugeot 206 break rouge).
Il aurait tenté de faire monter le garçonnet dans sa voiture
Il l'aurait ensuite attrapé par les épaules puis aurait tenté de le faire monter dans sa voiture. Selon ses dires, l'enfant ne devrait son salut qu'à l'intervention d'une dame âgée qui serait parvenue à faire fuir l'individu. Cette "sauveuse" ne s'est, à ce jour, pas manifestée auprès des gendarmes qui cherchent d'ailleurs à l'identifier et à la retrouver. L'agresseur serait âgé d'une trentaine d'années et mesurerait 1,80 m. Il serait brun aux cheveux courts.
Même si les enquêteurs de la brigade des recherches de Pertuis n'établissent aucun lien entre ces deux faits, une autre affaire de tentative d'enlèvement les occupe dans ce secteur du sud-Luberon depuis le mois dernier.
Le 5 mai, précisément vers 17h, une fillette en balade avec ses parents à la source du Mirail, à Saint-Martin-de-la-Brasque, avait affirmé avoir été approchée par un homme alors qu'elle circulait à vélo, quelques centaines de mètres devant ses parents. Il l'aurait attrapée par le bras, l'aurait traînée sur une vingtaine de mètres avant que la fillette de 8 ans ne pousse des hurlements, prompts à faire décamper l'individu.
La description de l'enfant a permis aux enquêteurs d'établir un portrait-robot du suspect. Cet homme, qui pourrait n'être âgé que de 18 à 20 ans, serait de taille moyenne (1,70 m environ). Il portait un bonnet en laine gris sur la tête, une veste coupe-vent bleu, avec un zip et une capuche ainsi qu'un pantalon en tissu vert pomme et des baskets blanches.
Toute personne ayant des éléments utiles à ces deux enquêtes est priée de contacter les gendarmes de Pertuis au 04 90 77 98 00.

http://www.laprovence.com/article/actualites/2407944/vaucluse-deux-enquetes-ouvertes-pour-des-tentatives-denlevement.html

Les braquages du siècle

lundi 17 juin 2013

Tentative de meurtre : une garde-à-vue serait en cours à la gendarmerie de Belfort

Dans la soirée du mercredi 8 mai, une tentative de meurtre avait laissé pour mort la victime, Arnaud Mauraisin, âgé de 36 ans et vivant seul. Au moment des faits la victime se trouvait sur son canapé et a été retrouvée avec une plaie béante au niveau du front avant d'être transportée par les pompiers et le Smur. Selon les premiers éléments de l’enquête, la blessure, aurait pu être commise avec un marteau ou une batte de base-ball. Une garde-à-vue serait en cours ce lundi matin à la gendarmerie de Belfort.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/06/17/une-garde-a-vue-serait-en-cours-a-la-gendarmerie-de-belfort

vendredi 14 juin 2013

Ouvrier décédé à la citadelle de Blaye : « On essaie de comprendre ce qui s’est passé »

L’échafaudage est encore là, tordu au pied des remparts de la citadelle. Et il y restera encore quelques semaines. Le temps pour les gendarmes de la brigade de Blaye de mener l’enquête afin de déterminer les causes de l’accident qui a entraîné la mort d’un homme de 28 ans mercredi après-midi. Quand la structure métallique est tombée des remparts, David Metche travaillait à son assemblage et a été entraîné dans la chute, une quinzaine de mètres plus bas.
Défaillance matérielle, erreur humaine ? C’est ce que cherche à comprendre le parquet qui a ouvert une enquête. Un expert judiciaire doit se rendre sur les lieux du drame aujourd’hui. Les enquêteurs ont commencé dès hier à entendre des parties en cause, mais aussi des témoins. Car l’accident s’est passé en plein après-midi, sous un soleil très chaud, et beaucoup de gens se promenaient sur les glacis de la citadelle. Quatre collégiens étaient même dans les fossés quand l’échafaudage s’est écrasé sous leurs yeux. Ils ont eu le réflexe d’appeler les secours immédiatement.

« Quelqu’un de confirmé »
En Loire-Atlantique, chez LV Tech, la société en charge de l’échafaudage, on est « accablé ». « Depuis le drame, tout le monde a la tête dans le sac ici », raconte le président de la société Raymond Leveque. Une société qui compte une cinquantaine de monteurs d’échafaudages, habitués aux chantiers d’envergures. C’est LV Tech qui s’occupe par exemple du chantier de la cathédrale de Bordeaux ou de la mairie de Royan. Tout récemment, LV Tech a proposé un devis pour un échafaudage en haut des piles du pont d’Aquitaine.
« C’est la première fois que l’on a un accident grave, témoigne Raymond Leveque. On essaie de comprendre ce qui s’est passé, c’est absolument incompréhensible. »
Le chef d’entreprise indique que David Metche avait rempli un an et demi de mission pour LV Tech. « Il avait une solide expérience et disposait de toutes les formations et de toutes les attestations. C’était quelqu’un de très confirmé. »
L’adjoint sur place
Le chef d’équipe du chantier de Blaye qui a été blessé, mais a pu se maintenir sur le haut des remparts, travaille pour LV Tech depuis huit ans. Il souffre de petites plaies au coude et d’ecchymoses au thorax, mais surtout est en état de choc. « Il a vu tomber son copain », confie Raymond Leveque.
Lionel Wintersheim, l’adjoint au maire en charge du patrimoine fortifié, et donc du chantier sur la courtine sud-est de la citadelle, a pu constater que ce n’est pas seulement la partie de l’échafaudage qui était suspendue qui s’est décrochée, mais qu’une des deux structures posée sur les remparts de part et d’autre des canonnières est également tombée. Il rappelle que cet échafaudage est le même que celui qui était installé juste à côté depuis plus de six mois. L’accident ne serait donc pas dû à des problèmes de calculs de la structure.
Le chantier qui doit durer quatre ans doit permettre de dégager les treize embrasures à canon d’origine sur cette façade de la citadelle. L’architecte doit se rendre sur place ce matin.

http://www.sudouest.fr/2013/06/14/on-essaie-de-comprendre-ce-qui-s-est-passe-1085001-1510.php

Le Havre: un arsenal découvert

Les enquêteurs de la SRPJ de Rouen ont fortuitement découvert un véritable arsenal, comportant notamment deux fusils d'assaut Kalachnikov et deux pistolets mitrailleurs Uzi, lors d'une intervention dans une cité sensible du Havre mardi, a-t-on appris aujourd'hui de source policière.

Les armes étaient dissimulés dans le local technique d'un immeuble du quartier de la Mare Rouge, dans la cité portuaire. L'arsenal, rangé dans trois sacs de sport, comportait également cinq fusils, cinq armes de poing et un fusil à pompe à canon scié, ainsi que plusieurs centaines de munitions et six paires de menottes, a-t-il été précisé.

La découverte s'est produite fortuitement, mardi, à l'occasion d'une descente liée à une enquête sur une série de braquages. Un chien anti-stupéfiants qui accompagnait les policiers a attiré l'attention de ceux-ci sur ce local technique après avoir détecté la présence de drogue: 40 grammes de shit se trouvaient en effet parmi les armes. La serrure du local avait été récemment changée.
Aucune interpellation n'a été effectuée et, selon les premiers éléments de l'enquête, "aucune des armes trouvées ne semble avoir été impliquée dans les braquages" à l'origine de l'intervention, a indiqué le directeur de la SRPJ de Rouen, Philippe Ménard, à un correspondant de l'AFP.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/06/13/97001-20130613FILWWW00747-le-havre-un-arsenal-decouvert.php

jeudi 13 juin 2013

Grenoble. Mort depuis des mois dans les toilettes de l’immeuble

Macabre découverte ce mercredi dans les toilettes d’un bureau, dans le quartier Europole de Grenoble : le corps d’un homme en décomposition gisait dans la pièce depuis des mois.
En prenant possession de ses bureaux, le nouveau locataire d’un immeuble d’affaires vacant depuis plusieurs semaines est tombé sur le cadavre d’un homme, a priori sans domicile fixe. La victime se trouvait dans les WC, fermés de l’intérieur.
Pour l’heure, les enquêteurs ignorent les circonstances exactes de ce décès qui pourrait remonter au début de l’année. Une autopsie sera pratiquée dans les prochains jours

http://www.ladepeche.fr/article/2013/06/13/1649059-grenoble-mort-depuis-mois-toilettes-immeuble.html

Véronique Courjault-L'affaire des bébés congelés

mercredi 12 juin 2013

Pierre Bodein-Pierrot le fou

Suspect n°1 (La vengeance d'une femme)

Haut-Savoie: une femme tuée par son fils

Une femme de 54 ans a été tuée aujourd'hui de plusieurs coups de couteau à Valleiry, en  Haute-Savoie et son fils de 20 ans, qui "semblerait" être l'auteur des coups, a été placé en garde à vue, a annoncé le parquet d'Annecy. "Il semblerait que l'auteur puisse être son fils cadet qui présente des troubles psychiatriques", a-t-il précisé.

C'est le fils aîné qui a découvert sa mère gisant sur le sol vers 10 heures et qui a tenté de la réanimer. Elle l'avait appelé peu auparavant "parce que son frère plus jeune n'allait pas bien et qu'elle voulait qu'il intervienne", a expliqué Mme Sultana-Khan.

Le fils le plus jeune, qui était présent à l'arrivée de son aîné, a été placé en garde à vue. Il était sous traitement pour des troubles psychiatriques. "Il semblerait que sa famille devait le faire hospitaliser dans la journée", a indiqué la vice-procureure, sans plus de précision.

Une autopsie devrait avoir lieu demain et une information judiciaire pourrait être ouverte vendredi. Le frère aîné, très choqué, a été hospitalisé. Le père de famille, qui n'était pas présent au moment du drame, est arrivé au domicile familial mercredi en début d'après-midi


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/06/12/97001-20130612FILWWW00429-haut-savoie-une-femme-tuee-par-son-fils.php

mardi 11 juin 2013

Métaux volés: interpellations en Lorraine

Une vaste opération de police et de gendarmerie a mené à l'interpellation ce matin en Lorraine d'une vingtaine de personnes. "Elles sont suspectées d'avoir commis une soixantaine de vols de métaux, dans des quantités extrêmement importantes, principalement dans des entreprises et déchetteries", a expliqué le vice-procureur de la juridiction inter-régionale spécialisée de Nancy, Rémi Coutin. Les personnes interpellées sont de nationalité roumaine, "a priori en situation régulière", a indiqué une source proche du dossier.

"Cela concernait de la fonte, de la ferraille, de l'inox, de l'acier, du cuivre ou du laiton", a précisé le vice-procureur. Selon lui, les vols avaient eu lieu dans toute la Lorraine, ainsi qu'en Bourgogne, dans le secteur de Dijon.

Une information judiciaire avait été ouverte en janvier à ce sujet.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/06/11/97001-20130611FILWWW00325-metaux-voles-interpellations-en-lorraine.php

Suspect n°1 - Meurtre a la St valentin - L'affaire Clelia Medina, meurtre de Meredith

lundi 10 juin 2013

Suspect N°1 - Emission Du 28.09.12

Chevaline: une piste roumaine à l'étude

Les enquêteurs travaillant sur le quadruple meurtre de Chevaline (Haute-Savoie) s'intéressent à des appels émis par le frère d'une des victimes en direction de la Roumanie, a indiqué Eric Maillaud, le procureur d'Annecy. Il confirme ainsi des informations du Parisien/Aujourd'hui en France. "Pour l'instant, ça ne donne rien", a-t-il ajouté, en précisant que les numéros composés n'avaient pas pu être identifiés.
Saad al-Hilli et son frère Zaid étaient brouillés depuis de nombreux mois à propos de l'héritage de leur père, portant sur plusieurs millions d'euros. La piste du différend familial est l'une des pistes privilégiées par les enquêteurs. Zaid al-Hilli n'a pour l'instant pas pu être interrogé sur ces appels téléphoniques car il bénéficie toujours du statut de témoin en Grande-Bretagne. "C'est le genre de questions qu'on ne peut pas poser à une témoin en Grande-Bretagne. Pour l'entendre de manière plus poussée, il faudrait passer au statut de suspect", a expliqué le procureur.

Eric Maillaud a cependant précisé que ces appels vers la Roumanie n'avaient "strictement rien d'une piste sérieuse". Le procureur n'a en revanche pas pu confirmer des appels passés entre la Roumanie et le téléphone fixe de la famille al-Hilli ou entre la Roumanie et la belle-soeur de Saad al-Hilli, comme l'écrit Le Parisien/Aujourd'hui en France.

Le 5 septembre dernier, Saad al-Hilli, Britannique d'origine irakienne de 50 ans, sa femme Iqbal, 47 ans, et sa belle-mère Suhaila al-Allaf, 74 ans, de nationalité suédoise, avaient été retrouvés morts, tués de plusieurs balles dans la tête, dans leur voiture. Sylvain Mollier, un cycliste de la région, probable victime collatérale, gisait à côté de leur véhicule.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/06/10/97001-20130610FILWWW00362-chevaline-une-piste-roumaine-a-l-etude.php

Faites entrer l'accusé - Mysterieuses disparitions

dimanche 9 juin 2013

Faites entrer l'accusé - Jean Chouraqui, la guerre des cliniques

L'ex-garde du corps de Ribéry écroué pour trafic de drogue

Un homme de 41 ans, ancien salarié de l'OM chargé de veiller sur la sécurité des joueurs, a été mis en examen, soupconné d'être à l'origine d'un important trafic de cannabis entre l'Espagne et le sud de la France.

Un ancien agent chargé de veiller notamment sur la sécurité de Franck Ribéry a été mis en examen et écroué vendredi à Marseille pour trafic de stupéfiants. Une information révélée par le quotidien La Provence. Agé de 41 ans, cet ancien agent de sécurité de l'Olympique de Marseille avait suivi le footballeur français lorsque celui-ci évoluait dans le club marseillais, entre 2005 et 2007, avant qu'il ne rejoigne le Bayern Munich.

"Il n'a jamais été le garde du corps attitré de Franck Ribéry, qui ne l'a jamais salarié ni rémunéré", a toutefois tenu à souligner l'avocat de Franck Ribéry, Me Carlo Alberto Brusa. "C'était un salarié de l'Olympique de Marseille. Il était chargé de la sécurité des joueurs. Franck Ribéry était l'un des plus en vue à l'époque, et il fallait donc le protéger, mais il n'a jamais été attribué de manière spécifique à Franck Ribéry", a-t-il ajouté.

L'ancien agent de sécurité a été interpellé en début de semaine par les enquêteurs de la brigade des stupéfiants de la Direction interrégionale de police judiciaire (DIPJ) de Marseille. Les policiers le soupçonnent d'avoir organisé un important trafic de cannabis entre l'Espagne et le sud de la France. Lors des perquisitions, ils ont retrouvé de l'argent liquide et 30 kilos de résine de cannabis à son domicile marseillais.
 

samedi 8 juin 2013

« Non, la mort de notre fille n'est pas un accident »

LE corps sans vie d'Aurélie Didi, 20 ans, a été retrouvé dans une voiture immergée dans la Marne, derrière les locaux de la RTA, à Brasles, le 27 août dernier, trois jours après sa disparition. Une semaine plus tard, un jeune de 23 ans, du Val-de-Marne, s'était livré à la gendarmerie, assurant qu'il s'agissait d'un accident. Mis en examen pour viol et meurtre, il avait été incarcéré avant d'être remis en liberté, sous contrôle judiciaire, au bout d'un mois.
Investigations difficiles
Depuis : rien, plus de nouvelles. Ils ne veulent pas que la mort de leur enfant tombe dans l'oubli. Hélène et Guillaume Didi ne croient pas à la thèse de l'accident et veulent que toutes les investigations soient menées pour éclaircir les nombreuses zones d'ombre entourant les dernières heures de leur fille. « On est dans le néant le plus total. On reproche à la justice d'avoir requalifié l'affaire : de meurtre et de viol, on parle maintenant d'accident, explique le papa. Ma fille n'est pas morte toute seule. Il l'a abandonnée dans l'eau, il n'a pas prévenu les secours. Je ne crois pas à l'accident. » Une conviction enracinée au lendemain de la découverte macabre, il y a de cela neuf mois.
« D'autant que l'autopsie a révélé des violences sexuelles et indiquait qu'elle n'était pas morte noyée », explique Me Cyrille Bouchaillou, l'avocat des parents.
Alors, comment expliquer le revirement de la justice ? « Ce n'est pas compréhensible à ce stade, tranche l'avocat laonnois. En général, le juge mène toutes les investigations avant de requalifier éventuellement. Là, je crains qu'on ne puisse jamais aller au bout de l'enquête. Pour ne rien arranger, le dossier est complexe. Le corps est resté trois jours dans l'eau rendant les investigations techniques et scientifiques très difficiles. D'autres analyses tendent ainsi à démontrer que finalement Aurélie serait morte noyée. On ne sait pas non plus si elle se trouvait dans le coffre de la Twingo, sur le siège avant passager ou bien même à la place du conducteur. On peut tout imaginer en l'état : qu'une personne ait pu aider le mis en cause notamment en poussant la voiture dans l'eau. »
Nombreuses incertitudes
Le comportement de ce jeune en question contribue à semer le doute : « Des témoins le croisent alors qu'il quitte les lieux : il est d'une froideur incroyable. Il ne donne pas l'alerte. »
Les nombreuses incertitudes et le manque criant d'information sur l'instruction en cours ajoutent un poids à la peine et à la douleur ressenties. Hélène et Guillaume Didi souhaitent être reçus par le juge d'Instruction. « Elle ne serait jamais montée dans la voiture d'un inconnu ! Encore moins qu'il lui apprenne à conduire, à six heures du matin ! Et surtout dans un lieu quasi impraticable en voiture ! Notre fille était pleine de vie, elle cherchait sa voie. On lui a ôté la vie. Ça a anéanti notre famille. On ne peut pas faire notre deuil tant que l'on ne sera pas précisément ce qui s'est passé. »

http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/non-la-mort-de-notre-fille-nest-pas-un-accident

Suspect n°1 (Un si long mystère)

jeudi 6 juin 2013

Paris/convoyeurs : deux hommes écroués

Deux personnes soupçonnées d'avoir braqué le 18 avril dernier à Paris des convoyeurs qui transportaient des bijoux dans une voiture banalisée, ont été écrouées. Deux autres hommes, également soupçonnés d'avoir participé au braquage, seront fixés sur leur sort demain. Un autre a été placé sous contrôle judiciaire.

Les cinq hommes avaient été interpellés lundi. Selon les premiers éléments de l'enquête, trois braqueurs masqués et armés avaient surgi devant la voiture des convoyeurs boulevard Pereire (Paris XVIIème) peu avant 10h. Ils les avaient menacés, avant de se faire remettre une partie de la marchandise. Ils avaient ensuite incendié le véhicule qu'ils auraient utilisé pour se rendre sur les lieux, avant de prendre la fuite. Aucun coup de feu n'avait été tiré.


 Les deux autres personnes interpellées sont des complices présumés.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/06/06/97001-20130606FILWWW00640-parisconvoyeur-braque-2-hommes-ecroues.php

Faites entrer l'accusé - Michel Ambras, l'homme a la cigarette

mardi 4 juin 2013

Corps dans la valise. Encore de nombreuses zones d'ombre

Presque deux ans d'attente et puis, une énorme accélération ces sept derniers jours : l'affaire du corps dans la valise aurait pu rester un mystère, mais le travail de fourmi des enquêteurs de la gendarmerie maritime a finalement payé.
Si de nombreuses zones d'ombre subsistent, la trame du drame se dessine peu à peu. Problème : entre les déclarations contradictoires des quatre mis en examen, les informations que refuse de valider le parquet et les incertitudes sur le maintien du dossier à Lorient, la communication est désormais suspendue.


Ce que l'on sait
Quelques éléments concordants permettent de confirmer que les deux femmes mises en examen pour
assassinat exerçaient dans un salon de massage qui proposait à ses clients bien plus que de simples massages.
La première, âgée de 27 ans, était la gérante de l'établissement. Elle serait aussi la compagne de l'homme retrouvé dans la valise : Mickaël, 57 ans. La seconde des deux femmes écrouées, âgée de 26 ans, est originaire de la région lorientaise.
Mardi dernier, un coup de filet, mené à Paris et Lorient, a permis de les interpeller, ainsi que deux autres personnes, mises en examen pour recel de cadavre : un homme âgé d'une soixantaine d'années, habitant la région lorientaise et père de la jeune femme de 26 ans, ainsi qu'une autre femme, qui est la soeur de la gérante et qui aurait aidé à transporter le corps.


Ce qui se dessine
Le drame se serait noué fin juin 2011, probablement aux alentours du 20. Une dispute aurait éclaté entre Mickaël et l'une des deux femmes (ou les deux), sans que l'on sache avec certitude quels rôles respectifs elles ont pu jouer dans l'
assassinat. L'homme aurait été frappé avec un objet à la tête.
L'enquête devra encore déterminer si Mickaël est mort sur le coup ou s'il a été «achevé» par la suite. Son corps aurait ensuite été placé dans une valise, hissée dans le coffre d'une voiture et transportée jusqu'à Lorient. Les femmes auraient ensuite placé la valise à bord du bateau que possédait le père de la plus jeune des deux. La valise aurait ensuite été larguée dans la rade, après avoir été lestée avec des poids reliés à des bouts... qui ont finalement cédé et laissé remonter le sinistre bagage, dérivant, avant qu'il ne soit retrouvé par deux pêcheurs, le 11 juillet 2011.

http://www.letelegramme.fr/ig/generales/regions/morbihan/corps-dans-la-valise-encore-de-nombreuses-zones-d-ombre-04-06-2013-2124129.php

Faites entrer l'accusé - L'assassinat du Juge Michel

lundi 3 juin 2013

Faites entrer l'accusé - L'assassinat du petit Gregory

Meurtre de Cartigny-l’Épinay. La victime était « connue de la justice »

Samedi matin, un homme a été retrouvé tué par balles dans la petite commune de Cartigny-l’Épinay, entre Bayeux et Saint-Lô. La victime était connue de la justice.
Règlement de compte ? Vengeance ? Difficile d’expliquer la mort de cet automobiliste dans la nuit de vendredi à samedi, dans le petit village de Cartigny-l’Épinay.
Originaire de la région ?
Tôt le matin, les éboueurs ont découvert le corps, à l’intérieur d’une Audi A3, stationnée sur un trottoir à proximité de plusieurs habitations. Cet homme âgé d’une trentaine d’années avait été tué par balles. Samedi, la nouvelle a provoqué l’émoi dans cette commune de 300 habitants.
La victime pourrait être originaire de la région et avait semble-t-il acheté une maison non loin des lieux du drame.
Connu de la justice
Le parquet de Caen reste très discret sur les circonstances de ce meurtre et ne souhaite pas confirmer l’identité de la victime. « Il s’agit bien d’un homicide, se contente d’affirmer le procureur, Catherine Denis. On peut seulement dire que cet homme était connu de la justice. » Le procureur attend « d’y voir plus clair sur cette enquête » avant de communiquer de nouveaux éléments.

7 jours BFM: attention, cambriolages!

dimanche 2 juin 2013

A Contes, macabre découverte dans le Paillon

Un corps a été découvert samedi après-midi dans le Paillon, à hauteur de la commune de Contes. C'est une promeneuse qui a aperçu ce qui semblait ressembler à des restes humains, pris dans l'un des multiples méandres du fleuve. La gendarmerie s'est rendue sur place.
La baisse du niveau de l'eau est probablement le facteur qui a permis cette macabre découverte. Une enquête est ouverte et une autopsie devrait être pratiquée dans les jours qui viennent. L'hypothèse criminelle semble pour l'instant écartée.

http://www.nicematin.com/nice/a-contes-macabre-decouverte-dans-le-paillon.1281948.html

samedi 1 juin 2013

Le maire a-t-il tenté de foncer sur son ancien adjoint ?

Le maire d’une commune de l’agglomération dijonnaise aurait, selon nos informations, tenté, à deux reprises dans une même journée, de foncer, avec un véhicule, sur un ancien adjoint de son équipe municipale. L’affaire remonterait à plusieurs semaines, lors des inondations historiques qui ont touché la Côte-d’Or.
La victime présumée aurait pu éviter le véhicule qui se dirigeait vers lui en se jetant dans un fossé. Une plainte a été déposée à la gendarmerie. Depuis, l’affaire est traitée par la justice.
Contactée ce jeudi en fin de journée par téléphone, la victime présumée, qui a confirmé sa version des faits, n’a pas souhaité « en dire plus ». D’une voix chevrotante et visiblement gênée, elle reconnaît être, encore aujourd’hui, particulièrement choquée par cet épisode. L’homme fait notamment l’objet d’un suivi psychologique.

Une « non-affaire » pour le maire

Joint aussi, le maire de la commune en question a accepté de nous répondre : « Je contredis totalement ces choses. Actuellement, le procureur et la gendarmerie s’occupent de cette affaire. Je vous invite plutôt à attendre de voir l’avis de la justice avant d’en faire une affaire politique. Après, vous ferez bien comme vous voulez… Si je le juge nécessaire, j’attaquerai en diffamation les choses… Si, avoir une altercation avec quelqu’un qui est dans l’opposition depuis des années, sachant qu’il y en a un qui est dans son véhicule, et l’autre qui est à pied… », a-t-il déclaré, avant de poursuivre : « Dans ces cas-là, on peut tout dire et son contraire. » Le premier édile était en outre persuadé que nous avions eu cette information grâce à la victime présumée, alors que ce n’est pas le cas. « Dans ces cas-là, il y a un problème quelque part ! », a jugé le maire, avant de conclure : « Pour moi, c’est une non-affaire. J’essaye de gérer la commune et de faire en sorte que les habitants y vivent bien. Je ne passe pas ma vie à critiquer les autres. Donc je ne le ferai pas, même y compris envers les gens qui me critiquent personnellement et qui essayent de porter atteinte à mon honneur et à ma famille. »
Dans tous les cas, on comprend bien qu’une certaine tension politique est bien réelle dans cette commune.

http://www.bienpublic.com/cote-d-or/2013/06/01/le-maire-a-t-il-tente-de-foncer-sur-son-ancien-adjoint

Tentative de meurtre à Clermont ?

Un violent incendie s'est déclaré au cours de la nuit de jeudi à vendredi, peu avant 3 heures, dans un appartement situé au premier étage d'un immeuble au 6 rue Eugène-Delahoutre à Clermont (Oise).
Les pompiers ont sauvé une femme, retrouvée inconsciente dans son logement.

 

Le fils, absent au moment des faits

 
D'après nos informations, la femme, âgée de 35 ans, vivait avec son fils âgé d'une dizaine d'années. Heureusement, il aurait été absent cette nuit et n'aurait pas assisté à l'incendie.
Il s'agirait en fait d'une tentative de meurtre. C'est en tout cas ce que l'on peut lire sur les scellés apposés par la gendarmerie nationale.
La victime a été évacuée à l'hôpital de Garches (Hauts-de-Seine). Trois logements, soit 17 personnes, ont été évacués.

http://www.courrier-picard.fr/region/tentative-de-meurtre-a-clermont-ia0b0n96183